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Canadian Association of Radon Scientists and Technologists

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Conseil d'Administration - Candidatures 2019

24 Apr 2019 3:04 PM | Erin Curry (Administrator)

Cette année, il y en a trois ouvertures sur le conseil d'administration, et un directeur pour réélection.  Nous avons posé les mêmes questions à toutes les nouvelles candidates et tous les nouveaux candidats pour vous aider à en apprendre plus sur eux avant l’élection.

Dre. Anne-Marie Nicol, membre du conseil d'adminstration pour réélection

Comme professeure associé des sciences de la santé à l’université Simon Fraser, Dre. Anne-Marie Nicol amène la pointe de vue unique des professionnelles en santé au conseil d’administration.  A travers ses recherches et son travail du sensibilisation du publique avec CAREX Canada, Dre. Nicol en a fait des contributions importantes au sensibilisation du publique au radon, et agit comme membre principal de l’équipe Occupe-Toi du Radon.

Nouveaux Candidats et Nouvelles Candidates:

Julie Girardeau, Québec

ACSTR : Pourriez-vous nous parler un peu de vos antécédents et votre intérêt pour l’industrie du radon au Canada ?

Julie : Mon expérience est en finance, marketing et gestion organisationnelle. J’ai deux jeunes enfants et j’ai suivi un enseignement formel. J’ai habité de nombreuses villes en Ontario, Québec et les provinces atlantiques, mais le radon ne faisait pas partie de mes préoccupations. En clair, je connaissais très peu à ce sujet et ces dernières années ont été très révélatrices. Dans mon rôle de directrice générale des opérations dans l’un des plus gros fournisseurs d’équipement de détection de radon et de services de tests, j’ai pu constater le besoin pour plus de visibilité et de sensibilisation publique au sujet de notre industrie et les problèmes de santé liés au radon.

ACSTR : Avez-vous de l’expérience avec des conseils d’administration ou des organismes similaires ?

Julie : J’ai siégé comme trésorière et comme secrétaire à des conseils administratifs. J’ai été impliqué dans plusieurs initiatives en lien avec la sensibilisation communautaire, collecte de fonds et des activités caritatives. L’objectif de ces initiatives était toujours de sensibiliser l’opinion publique.

ACSTR : Avez-vous une vision ou un but en tête que vous pensez l’ACSTR devrait envisager au cours des prochaines années ?

Julie : Je suis une partisane convaincue du bien-fondé de l’éducation. Nos nouveaux membres ainsi que nos membres actuels bénéficieraient de développement professionnel continu et de matériel de marketing. Je crois que c’est un élément essentiel de notre mission de continuer à informer les Canadiens et Canadiennes sur les risques posés par le radon et plus importants encore sur les solutions disponibles. Je pense que la sensibilisation à tous les niveaux gouvernementaux fédéral, provincial et régional est un aspect important du mandat de l’ACSTR.

ACSTR: Si vous êtes élue, comment contribueriez-vous au conseil et quelles qualités apporteriez-vous à l’ACSTR et le conseil d’administration? 

Julie : Je suis relativement une nouvelle venue au monde du radon, mais ce point de vue me permet de voir les choses d’un haut niveau sur le plan opérationnel et des premières lignes. Je suis ouverte d’esprit et travaillante. J’aimerais avoir la chance de contribuer à un organisme qui peut faire une réelle différence sur la santé et sécurité des Canadiens et Canadiennes.

 

Michael Halliwell, Alberta

ACSTR : Pourriez-vous nous parler un peu de vos antécédents et votre intérêt pour l’industrie du radon au Canada ?

Michael : À titre d’ingénieur environnemental, mon travail a toujours consisté en la protection de l’environnement et la santé humaine. Au fil du temps, la compagnie pour laquelle je travaille a évolué afin de pouvoir analyser les déclarations de « cette substance pourrait se trouver » qui figurent dans les rapports antérieurs. Ceci inclut la qualité de l’air intérieur, la peinture au plomb et les préoccupations liées à l’amiante. En 2017, pour faire suite aux changements du Code de bâtiment en Alberta et la sensibilisation publique et de nos clients, je suis devenu un professionnel en mesure du radon. Depuis lors, ma passion, ainsi qu’une préoccupation pour, le radon s’est accru, surtout compte tenu de l’attitude « nous n’avons pas de radon ici » qui est si répandue en Alberta.

ACSTR : Avez-vous de l’expérience avec des conseils d’administration ou des organismes similaires ?

Michael : Bien que je n’aie pas siégé directement à un conseil, j’ai passé plusieurs années comme officier d’état-major de la région avec la Brigade ambulancière Saint-Jean. J’ai aidé à organiser les bénévoles et les activités publiques, agi comme intermédiaire entre nos quartiers provinciaux et les autres ONG lors de la planification des réactions aux catastrophes naturelles possibles. À titre d’ingénieur environnemental, je suis très à l’aise à entretenir avec les différents intervenants allant du public général au personnel de l’industrie et les régulateurs municipaux, provinciaux et fédéraux en utilisant un langage approprié variant d’un langage simple à un langage technique. Ce qu’il me manque en expérience directe, je compense en tirant d’une vaste expérience.

ACSTR : Avez-vous une vision ou un but en tête que vous pensez l’ACSTR devrait envisager au cours des prochaines années ?

Michael : J’ai deux objectifs en tête. Le premier est de continuer à bâtir les relations avec les régulateurs partout au Canada pour les informer sur le radon, que ce gaz se trouve partout au Canada, comment le mesurer et quoi faire en cas de concentration élevée. Cette sensibilisation des régulateurs et ces connaissances sont critiques à la mise en place de programmes et réglementations destinés à la protection du peuple canadien. En deuxième lieu, je pense que nous devons continuer à travailler l’attitude publique dans le Canada occidental (et ailleurs) que « nous ne sommes pas sur le Bouclier canadien, donc il n’y a pas de radon ici » parce que c’est un mythe potentiellement fatal.

ACSTR : Si vous êtes élu, comment contribueriez-vous au conseil et quelles qualités apporteriez-vous à l’ACSTR et le conseil d’administration?

Michael : Je pense que mon expérience dans le domaine de l’environnement sera ma force. Les entreprises mettent ensemble l’Hygiène, Sécurité et Environnement (« HSE ») et les activités liées au radon et le fait même de pouvoir parler le même langage sera un atout. J’ai aussi des antécédents en santé humaine, ce qui est parallèle au domaine médical et je peux m’adapter à public très divers de Joe Bleau aux professionnels techniques. Je pense que ces caractéristiques sont indispensables pour informer le public sur la réalité du radon au Canada. Finalement, je suis enthousiaste et passionnée de la protection de ma famille et ma communauté, tant que dans mon bénévolat comme premier répondant ou mon travail de jour ou en sensibilisation au radon dans mon entourage. Le fait de pouvoir canaliser et orienter ma passion et mon enthousiasme pour l’ACSTR et le conseil aidera à faire progresser notre travail important.


Kim Roy, Alberta

ACSTR : Pourriez-vous nous parler un peu de vos antécédents et votre intérêt pour l’industrie du radon au Canada ?

Kim : Je suis une professionnelle certifiée en mesure du radon depuis janvier 2015.Sélectionnée pour les Rural Business of the Year & Environmental Stewardship Awards par la Chambre de Commerce de Stony Plain.

ACSTR : Avez-vous de l’expérience avec des conseils d’administration ou des organismes similaires ?

Kim : Je suis actuellement une directrice de la Chambre de Commerce Spruce Grove et son district et j’étais membre du conseil de la garderie.

ACSTR : Avez-vous une vision ou un but en tête que vous pensez l’ACSTR devrait envisager au cours des prochaines années ?

Kim : Les idées me viennent sans cesse. Je cherche constamment des façons de promouvoir la sensibilisation au radon et d’assurer que les professionnels en mesure et en atténuation reçoivent le soutien dont ils ont besoin pour pratiquer leur travail.

ACSTR : Si vous êtes élue, comment contribueriez-vous au conseil et quelles qualités apporteriez-vous à l’ACSTR et le conseil d’administration?

Kim : Je suis passionnée du radon et j’aime travailler avec le public. Je serais heureuse d’être porte-parole et améliorer la sensibilisation publique.


Andrea Schinkel, Colombie Brittanique

ACSTR : Pourriez-vous nous parler un peu de vos antécédents et votre intérêt pour l’industrie du radon au Canada ?

Andrea: Je suis une fonctionnaire fédéral, une entrepreneure, une épouse et la maman de deux jeunes enfants. J'ai une passion pour le plein air et j'aime passer du temps sur mon bateau avec ma famille dans la belle ville de Vancouver, en Colombie-Britannique. Avec plus de dix ans d’expérience en gestion d’installations et de projets pour le gouvernement fédéral, en plus d’être copropriétaire d’une entreprise d’électricité, et d’avoir été membre d’un conseil d'administration (Vancouver Kiwanis Music Festival), j'apporte au conseil d’administration de CARST des compétences et un point de vue uniques. Depuis près de dix ans, je suis responsable des tests et de l’assainissement des propriétés du gouvernement pour le radon. J'ai récemment obtenu ma certification en mesure et en assainissement du radon et je cherche à faire profiter le conseil de mes compétences et de mon expérience publique afin d’améliorer encore davantage la communication et l’orientation des employeurs à ce sujet.

ACSTR : Avez-vous de l’expérience avec des conseils d’administration ou des organismes similaires ?

Andrea:  J’ai siégé au conseil d’administration de Vancouver Kiwanis Club.

ACSTR : Avez-vous une vision ou un but en tête que vous pensez l’ACSTR devrait envisager au cours des prochaines années ?

Andrea: Ma vision pour CARST est d’accroître l’information et la disponibilité des conseils sur la responsabilité des employeurs en ce qui concerne le radon. Dans ma vie professionnelle, je suis responsable de la mise en œuvre d’un programme de conformité au radon à l’échelle nationale pour l’Agence des services frontaliers du Canada. J’ai accompli ce travail dans la région du Pacifique au cours des dernières années, et je me charge maintenant des autres emplacements de travail de l’ASFC. J’ai constaté que la réponse à la question de la responsabilité de l’employeur nécessite un élément de conformité afin de fournir aux employeurs le soutien nécessaire pour assurer le suivi. Un soutien par le biais de la santé et de la sécurité et du Code canadien du travail est nécessaire.

ACSTR : Si vous êtes élue, comment contribueriez-vous au conseil et quelles qualités apporteriez-vous à l’ACSTR et le conseil d’administration?

Andrea: Si je suis élue, j’aimerais travailler comme membre du conseil d’administration pour accroître la sensibilisation au radon en milieu de travail et définir la conformité au radon à l’échelle nationale.


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